Ce soir, comme je ne parviens pas à le voir, j’ai essayé d’enregistrer le son de ce fantôme qui, j’en suis certain, déclenche certaines nuits la lumière automatique de la cour intérieure. J’ai veillé un certain temps avant de m’endormir. Au réveil, à l’écoute, il n’y avait rien que celui, distant et sans fin, de la ville au-delà. Je ne me résous pas néanmoins à croire qu’il n’existe pas.
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